On se bouge à Limoges pour les droits des femmes ! RDV le 8 mars Place d’Aine, dès 17h !

Retrouvez le tract du Collectif 8 mars 87 ci-dessous :

Le collectif 8 mars 87 a été créé l’année dernière avec des associations et OS du département (planning familial, Attac, Amnesty International, Meufs et Venères, FSU, CGT, Solidaire et d’autres). L’idée était de continuer de construire des actions pour les droits des femmes toute l’année et pas seulement le 8 mars.

Cette année, des ateliers sur différents thèmes auront lieu Place d’Ainedu 1er au 6 mars.

Les différentes actions sont décrites dans le tract disponible ci-dessus.

La FSU sera présente sur l’atelier du mercredi « Sexisme et discriminations dans l’éducation », n’hésitez pas à nous y retrouver !


Pour la Journée du 8 mars, voici les actions prévues :

  • Rassemblement le 8 mars, place d’Aine à 17h00 départ de la manif vers 17h30 ;
  • Le parcours pour la manifestation marquera des arrêts symboliques devant des lieux en rapport étroit avec les droits des Femmes, flash mob des Rosies, et pleins d’autres animations !

📌 A noter ! IL EST LÉGAL DE MANIFESTER, MÊME AU DELÀ DES HEURES DU COUVRE FEU (18h). Il suffit de remplir l’attestation ci-dessous.

AESH : pas de premières de corvées dans l’Éducation nationale !

Les AESH représentent aujourd’hui près de 110 000 agent-es dans l’Éducation nationale, soit un personnel sur dix. Ce sont très majoritairement des femmes à plus de 90%, âgées de 45 ans en moyenne. Elles sont recrutées sous contrat et peuvent accéder à un CDI après six ans de contrat.

Leur mission concourt au bon fonctionnement de l’école inclusive. Mais l’institution maintient les AESH dans une précarité insupportable qui ne grandit pas le service public d’éducation.

Les AESH sont actuellement engagées dans des conditions indignes : travail à temps incomplet, salaires indécents, avancement et hausse de salaire quasi inexistants…

Les conditions imposées aux AESH résument à elles seules la réalité subie par les femmes : des emplois précaires, peu rémunérés, offrant de faibles perspectives de carrière et dont les missions rendent compliquée l’articulation vie privée / vie professionnelle.

Le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes sera aussi l’occasion de montrer la réalité de la précarité des AESH, dans le secteur de l’éducation.

Pour le SNUipp-FSU et la FSU, il faut en finir avec la précarité dans la Fonction publique, et plus particulièrement celle des femmes !

Et n’hésitez pas à diffuser le tract du collectif 87 dans vos écoles !